Dès samedi, la communauté twitter diffusait le lien vers un fichier contenant les coordonnées d'un demi milliers de policiers français avec noms, adresse de messagerie mais, également, numéros de téléphone.
Cette frappe cybernétique serait, selon certains médias, une réplique des hackers d'Anonymous à l'arrestation de trois des leurs dans une enquête sur le piratage de serveurs informatiques d'EDF.
Au journal de 13h de France 2, un syndicat de la police nationale a dénoncé un acte particulièrement grave.