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lundi 31 octobre 2011

La marine russe sur les ondes

Activité radioélectrique de la marine russe captée en HF, ce soir, par freemonitoring :

- 07816 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h23 temps universel, 31 oct 11.

- 05006 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h25 temps universel, 31 oct 11.

- 05022 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h26 temps universel, 31 oct 11.

- 05268 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 250 hz, flash message, en trafic à 21h27 temps universel, 31 oct 11.

- 10236 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, "kkkkbaek..." en trafic à 21h28 temps universel, 31 oct 11.

- 10452 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, "kkkkbg epfa ..." flash message, en trafic à 21h29 temps universel, 31 oct 11.

- 10712 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h30 temps universel, 31 oct 11.

dimanche 30 octobre 2011

Les Anonymous menacent un cartel de la drogue


Après l'église de scientologie ou les dictatures arabes, le groupe de hackers Anonymous s'attaque désormais aux cartels de la drogue. En effet, dans un message vidéo, diffusé sur youtube le 6 octobre, un homme arborant le masque du héros "V pour Vendetta" (effigie du groupe Anonymous) accuse le cartel mexicain "Los Zetas" d'avoir enlevé l'un de ses membres à Veracruz et exige sa libération sous peine de représailles informatiques. En effet, l'auteur du message menace de diffuser sur le web les noms de fonctionnaires, journalistes ou politiciens jugés corrompus par l'organisation criminelle "Los Zetas".

Depuis plusieurs mois, un collectif de hackers s'affichant comme membres d'Anonymous, s'attaquait régulièrement aux autorités fédérales de Veracruz pour dénoncer leur passivité, voire leur complicité, face aux actions meurtières du groupe criminel "Los Zetas". Mais, c'est la première fois que le groupe menace directement un cartel de la drogue.

"Los Zetas" a été créé en 1999 par d'anciens militaires dont plusieurs membres des forces spéciales mexicaines. Ses moyens armés et logistiques sont considérables ainsi que sa zone d'action qui s'étend du Guatemala au Sud des Etats-Unis.

mardi 25 octobre 2011

L’intervention de BlueCoat en Syrie révélée par l’OpSyria de Telecomix

Selon la communauté Telecomix, qui oeuvre pour la libre expression sur internet par des actions militantes (dont l'aide apportée aux révolutions arabes pour contourner la censure gouvernementale), une entreprise américaine, BlueCoat, aurait fourni à la Syrie des proxies permettant d'assurer le filtrage et la surveillance des requêtes effectuées sur le web par les internautes syriens.

Telecomix a, en effet, pu collecter une partie des journaux de connexions à des sites censurés en Syrie contenus sur les serveurs du Syrian Telecommunications Establishment. 54GO au total qui concernent des millions de requêtes d'internautes syriens entre le 22 juillet et le 5 août 2011 et la manière dont la censure syrienne a pu bloquer certaines requêtes.

Cette opération de "collecte" a également pu permettre d'identifier le matériel utilisé pour le filtrage et sa provenance, des serveurs proxies SG-9000 de marque BlueCoat.

L'entreprise californienne BlueCoat revendique plus de 4000 clients dont la NSA, la CIA, SONY, Japan Telecom, l'armée américaine, etc...

Elle assure n’avoir vendu aucun matériel à la Syrie, pays sous embargo américain. Toutefois, toujours selon telecomix, s’il est possible que le matériel est pu être acheté par un autre pays et acheminé ensuite sur le sol syrien, BlueCoat ne peut avoir ignoré l’utilisation syrienne de ses machines puisque certaines requêtes des proxies exigeaient une connexion aux serveurs californiens de BlueCoat.

Aussi, certaines sources indiquent que les requêtes filtrées par les serveurs de BlueCoat en Syrie ont pu aussi être une précieuse source de renseignements pour les autorités américaines sur l’évolution de la révolution syrienne

 

vendredi 21 octobre 2011

Interception du satellite militaire TACSAT-4 par un amateur


Le signal transpondeur du satellite militaire américain, TACSAT-4 (reconnaissance et communication) qui a été lancé le 27 septembre dernier, a été capté par un amateur sur 2206,120 MHZ (S-BAND) à l'aide d'un récepteur de type SDR et d'une simple antenne hélicoïdale accordée sur la fréquence. 



Source : http://www.uhf-satcom.com/heo/tacsat-4/

Les voix de la liberté sur les ondes tunisiennes

Le peuple tunisien se rend aux urnes dimanche. Un scrutin historique neuf mois après la chute de Ben Ali. Pendant 23 ans, les Tunisiens ont été bridés. Ils vont enfin pouvoir prendre la parole. Aujourd’hui, c’est un vent nouveau qui souffle sur le pays du jasmin. La presse, les radios, les télévisions, espèrent pouvoir enfin raconter, témoigner, choisir librement leurs sujets. la suite

 

Source : l'excellent reportage de Mikaël Roparz http://www.france-info.com/monde-afrique-2011-10-20-tunisie-la-liberte-au-bout-des-ondes-569931-14-18.html


mercredi 19 octobre 2011

L'hébergeur gandi.net victime d'une attaque ddos

L'hébergeur français Gandi.net a été la victime d'attaques ddos (par déni de service) sur plusieurs de ses serveurs.

L'origine de ces attaques reste d'autant plus obscure que Gandi.net défend un internet "solidaire et citoyen" et ne présente donc pas le profil des sites qui sont habituellement ciblés par les hackers.

dimanche 16 octobre 2011

Des agents de Telecomix menacés ?

Selon le site Reflets.info, qui relaye, depuis plusieurs semaines, les actions de contournement de la censure en Libye ou en Syrie du groupe de hackers Telecomix, des menaces auraient été reçues, par voie électronique, à l'encontre du site et des membres de la communauté Telecomix. Le site rapporte les propos suivants "Toi… Toi… Tu vas avoir de gros ennuis, Reflets… Ils vont te couper en deux" ou encore (toujours selon Reflets.info), "si vous continuez à enquêter sur le Deep Packet Inspection, la Syrie et la Libye, vous et les agents de Telecomix, vous allez vous « faire buter »".

L'origine de ces menaces reste inconnue. Toutefois, elles interviennent alors que Reflets.info et Telecomix n'ont pas hésité à révéler les noms d'entreprises allemandes, françaises ou américaines ayant fourni des systèmes de censure informatique aux autorités libyenne ou syrienne.

Concernant la Syrie, Telecomix a décidé, il y a quelques jours, de dévoiler les journaux de connexions à des sites censurés en Syrie. 54GO au total qui concernent des millions de requêtes d'internautes syriens entre le 22 juillet et le 5 août 2011et la manière dont la censure syrienne a pu bloquer certaines requêtes.

Telecomix justifie sa démarche " dans le but de permettre à tout un chacun d'en faire des analyses permettant de mieux comprendre la censure syrienne, et créer une nouvelle base de connaissance pour se prémunir de futures attaques contre la liberté d'expression."

samedi 15 octobre 2011

Un agent de Telecomix se confie : " J'ai voulu mourir"

"Je vais vous faire une confidence. Quelque chose de très personnel. J'ai voulu mourir.

J'avais tout planifié. J'avais organisé le comment. J'avais préparé mon matériel. J'avais écrit une liste permettant d'avoir accès à mes emails, mon serveur, mes sessions IRC et qui devait en être informé. J'étais dans une profonde dépression. Je ne voyais pas d'autre solution que d'en finir pour mettre fin à la souffrance que je pouvais ressentir.

La pression était trop forte pour moi. Depuis Janvier, je travaillais sur différents projets avec Telecomix et d'autres collectifs. Nous aidions les Egyptiens à rétablir leurs connexions Internet. Nous aidions les Syriens, les Libyens et beaucoup d'autres ne disposant pas de la liberté de parole dans leurs pays. Nous avons fait notre possible pour que leurs voix soient entendues malgré tout. Je me suis littéralement battu pour cela. Je me suis battu contre mon cycle de sommeil, mes habitudes alimentaires et mon besoin d'amusement. Il était devenu habituel que je reste éveillé plus de trente heures voire plus.

J'ai vu et écrit des choses que je ne considérais pas appartenir au champ des possibles. Ces derniers mois, j'ai aidé beaucoup de gens à être connecté à Internet, à libérer leurs paroles et à montrer au reste du monde ce qu'il en était vraiment. Certains se sont perdus en cours de route. Je ne les reverrais jamais et je ne sais pas s'ils ont tout simplement préféré prendre leurs distances, s'ils ont été arrêtés ou s'ils sont, tout simplement, morts. Je n'en ai pas le moindre putain d'idée et je ne le saurais jamais.

Chaque jour qui passe apporte son lot d'horreurs à travers le monde, relayé dans les médias, lot d'horreurs ne nous affectant pas directement. Les nouvelles ou l'absence de nouvelles de ces personnes avec lesquelles j'étais en contact , m'ont profondément affecté. Une pression pour aider ces personnes avait surgi, personnes qui combattent de manière tellement enragée pour leur liberté d'expression.

Plus nous aidions ces personnes,  plus je sentais que le niveau de responsabilité montait d'un cran.

Je ne pouvais plus dormir. Je buvais trop. J'ai fumé plus que de raison. Il n'y avait rien d'autres dans ma vie qu'aider d'autres gens. Mais j'ai fini par oublier ce qui était bon pour moi. Dormir, s'amuser, regarder des films, écouter de la musique. Passer du temps avec mes amis sans penser aux gens qui étaient sur le terrain et ce qu'il y avait à faire ensuite.

Un jour j'ai réalisé que j'étais perdu. Perdu dans une vie qui n'était plus la mienne. Perdu dans une vie où je ne m'occupais que des autres, qui me considéraient comme un héros. Personne ne voyait que j'étais juste un pauvre gosse qui voulait faire mumuse avec de la technologie et écrire des articles sur le futur de la communication.

Cette histoire s'arrête là : il fallait en finir. Je ne voyais pas comment faire autrement. Partir. Ne plus être un putain d'héros. J'avais prévu d'en finir le lendemain du Chaos Computer Camp. Tout était prêt. Mais c'est arrivé. Nous avons fermé le cluster d'hacktivistes dont je faisais partie. J'ai rencontré beaucoup de gens formidables « en vrai » sur place et beaucoup rencontrent le même problème. Mes amis étaient sur place et m'ont montré que la vie valait la peine d'être vécue.

Avec le reboot du cluster, je vais faire mon propre reboot. Je recommence à faire des projets pour moi. Je ne suis plus perdu. J'ai ma place sur la scène des hacktivistes et j'ai des amis partout à travers le monde. Je ne suis pas seul. De fait, ce que je considérais être un fardeau n'en est plus un. J'ai ouvert les yeux sur ce qui était important dans la vie : transmettre ce que l'on ressent. Et si le fait de transmettre ce que je ressens peut permettre à d'autres qui ressentent la même chose, de se sentir mieux, ça sera une bonne chose.

Il est temps de procéder au reboot."

Source : http://pixellibre.net/2011/08/le-jour-ou-jai-voulu-mourir/

lundi 10 octobre 2011

Attaque de Wall Street par le Anonymous : la vraie fausse rumeur des services de renseignement ?

Plusieurs membres qui s'affichent comme appartenant à Anonymous nous ont indiqué que les menaces d'attaques contre le site internet de Wall Street le 10 octobre ne seraient qu'une fausse rumeur lancée par un service de renseignement en charge de la cyber-criminalité.

Toujours selon nos sources, la communauté Anonymous serait actuellement mise en difficulté par des membres dissidents ou chargés de l'infiltrer qui n'hésiteraient pas à mettre la signature d'Anonymous sur des actions plus proches de la cyber-criminalité que du hacking militant.

samedi 8 octobre 2011

Les drônes américains victimes d'un virus informatique

"Un virus informatique a infecté les cockpits des drones américains Predator et Reaper, enregistrant toutes les commandes des pilotes quand ils effectuent à distance des missions", écrit le magazine wired, citant trois sources anonymes.

Il n'y a eu officiellement aucune diffusion d'informations confidentielles à l'extérieur de la base de Creech, dans le Nevada. Le virus n'aurait pas non plus empêché les pilotes d'effectuer leurs missions, précise le magazine. Mais les militaires américains n'arriveraient toujours pas à se débarrasser de ce virus, détecté il y a deux semaines.

"NOUS PENSONS QU'IL N'EST PAS TRÈS DANGEREUX, MAIS EN FAIT NOUS N'EN SAVONS RIEN"

"Nous l'éliminons, mais il revient à chaque fois. Nous pensons qu'il n'est pas très dangereux, mais en fait nous n'en savons rien", a résumé un des interlocuteurs anonymes de Wired. Les autorités américaines cherchent également à savoir comment le virus a pu s'introduire dans un parc informatique a priori très sécurisé.

"Les spécialistes militaires ne savent pas si le virus (...) a été introduit volontairement ou accidentellement", explique le magazine. Ils soupçonnent que des disques durs externes, que les pilotes utilisent pour transférer des informations d'un poste à un autre, soient à l'origine de l'infection.

Source : http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/10/08/un-virus-informatique-aurait-infecte-les-drones-de-l-armee-americaine_1584582_651865.html

vendredi 7 octobre 2011

Quand Avaaz et Anonymous font cause commune...

Alors que les pirates informatiques du groupe Anonymous menacent Wall Street d'une vaste attaque informatique le 10 octobre, Avaaz (organisation non-gouvernementale ayant pour objectif de "rassembler les citoyens du monde pour agir sur leur destin" et fondée par Ricken Patel, ancien membre des fondations Rockefeller et Bill Gates) s'engage également dans le "combat" contre Wall Street, "un épicentre de la puissance financière mondiale et de la corruption" (dixit Avaaz). En effet, par voie électronique, l'organisation appelle ce soir à la signature d'une pétition destinée à soutenir les milliers de manifestants américains qui occupent actuellement le quartier de Wall Street.

Selon Avaaz, "Alors que les travailleurs paient la facture d'une crise financière causée par des élites corrompues, les manifestants demandent une réelle démocratie, la justice sociale et la lutte contre la corruption. Mais ils subissent de fortes pressions de la part des autorités, et certains médias les rejettent d'emblée en les qualifiant de groupes marginaux. Si nous sommes des millions du monde entier à les soutenir, nous renforcerons leur détermination et montrerons aux médias et aux dirigeants que ces protestations font partie d'un immense mouvement dominant pour le changement."

Une nouvelle fois, Avaaz démontre son ambition d'un "contre-pouvoir citoyen". Ce même contre-pouvoir"mis en avant par la devise des hackers de la communauté Anonymous : "Nous sommes Anonymous. Nous sommes Légion. Nous ne pardonnons pas. Nous n'oublions pas. Redoutez-nous".

Le contre pouvoir des Anonymous menace Wall Street


Les Anonymous ont diffusé un nouveau message vidéo dans lequel ils déclarent la guerre au New York Stock Exchange (NYSE). « Le 10 octobre, le NYSE sera effacé de l'Internet. Le 10 octobre, attendez-vous à un jour qui restera dans les mémoires », menacent-ils.
Une menace qui prendra la forme d'une attaque de type DDoS contre le site nyse.com. Les Anonymous ont pris fait et cause pour le mouvement anti-capitaliste Occupy Wall Street qui a débuté le 17 septembre dernier à l'initiative du groupe canadien Adbusters. Depuis cette date, des activistes campent jour et nuit aux abords de la bourse de New-York pour dénoncer les dérives du système financier et les inégalités qu'il entraîne.
Samedi dernier, une manifestation s'est soldée par l'arrestation d'une centaine de personnes sur le pont de Brooklyn. 

(Source : http://hightech.nouvelobs.com/actualites/depeche/20111006.ZDN5823/les-anonymous-promettent-d-effacer-la-bourse-de-new-york-le-10-octobre.html)

Anonymous au secours de copwatch ?


Alors que le Ministère de l’Intérieur français vient d’annoncer sa volonté de bloquer, par une procédure judiciaire, le site internet copwatch qui fiche policiers et gendarmes, plusieurs sources se revendiquant des Anonymous nous ont indiqué que le groupe de hackers allait aider à la mise en place de sites miroirs afin de contourner toutes tentatives de blocage.


Rappelons que la branche autrichienne du groupe de pirates informatiques Anonymous (AnonAustria) a également publié récemment des données concernant près de 25.000 policiers autrichiens. Ces données auraient été obtenues par les hackers via une organisation proche de la police, a indiqué le ministère de l’Intérieur, qui mène l’enquête.

mercredi 5 octobre 2011

La téléphonie afghane aux mains des talibans ?

Les insurgés afghans ne sont pas opposés à l'usage du portable – ni à celui d'Internet, qu'ils ont embrassé après leur chute en 2001, à des fins de propagande. Ces coupures de ligne, qui touchent plus de la moitié du pays et interviennent le plus souvent la nuit, leur permettent de se mouvoir sans risquer d'être dénoncés par la population.

Mais, selon le New York Times, elles incitent à se demander "si les talibans ont besoin de tenir le territoire comme ils le faisaient auparavant afin d'influencer la population. De plus en plus, il semble que la réponse soit non". En effet, ces coupures d'un outil essentiel pour le commerce, qui représente l'un des rares secteurs relativement sains de l'économie afghane, "rappellent quotidiennement à des centaines de milliers, voire des millions d'Afghans, que les talibans ont encore une influence réelle sur leur futur".

Les opérateurs de téléphonie affirment, eux, ne pas pouvoir compter sur le gouvernement ni sur l'OTAN pour défendre les tours et leurs employés. Ainsi, un gérant anonyme d'Etisalat, l'une de ces compagnies, déclare au New York Times : "Les talibans nous menacent avec force si nous n'éteignons pas le signal dans la ville de Kandahar", l'ancienne capitale du régime taliban et le point central de la campagne d'augmentation de troupes lancée par le président Obama en 2009, afin de manifester la présence de l'OTAN dans le Sud afghan. "Ils disent : vous êtes les mêmes que les Américains. Ce que nous ferons contre les Américains, nous le ferons également contre vous. Vos employés seront enlevés, tués, et les tours seront brûlées."

De même, poursuit l'employé, "Le gouvernement dit : 'Vous ne devriez pas éteindre le signal à Kandahar.' Ils disent : 'Nous pouvons protéger les sites dans la ville', mais nous ne croyons pas que le gouvernement protégera les tours."

Source : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/10/05/signal-en-afghanistan-on-ne-telephone-que-si-les-talibans-sont-daccord/