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lundi 31 octobre 2011
La marine russe sur les ondes
- 07816 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h23 temps universel, 31 oct 11.
- 05006 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h25 temps universel, 31 oct 11.
- 05022 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h26 temps universel, 31 oct 11.
- 05268 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 250 hz, flash message, en trafic à 21h27 temps universel, 31 oct 11.
- 10236 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, "kkkkbaek..." en trafic à 21h28 temps universel, 31 oct 11.
- 10452 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, "kkkkbg epfa ..." flash message, en trafic à 21h29 temps universel, 31 oct 11.
- 10712 khz Marine russe, cis bee 36-50, vitesse 50bd, shift 200 hz, flash message, en trafic à 21h30 temps universel, 31 oct 11.
dimanche 30 octobre 2011
Les Anonymous menacent un cartel de la drogue
mardi 25 octobre 2011
L’intervention de BlueCoat en Syrie révélée par l’OpSyria de Telecomix
Telecomix a, en effet, pu collecter une partie des journaux de connexions à des sites censurés en Syrie contenus sur les serveurs du Syrian Telecommunications Establishment. 54GO au total qui concernent des millions de requêtes d'internautes syriens entre le 22 juillet et le 5 août 2011 et la manière dont la censure syrienne a pu bloquer certaines requêtes.
Cette opération de "collecte" a également pu permettre d'identifier le matériel utilisé pour le filtrage et sa provenance, des serveurs proxies SG-9000 de marque BlueCoat.
L'entreprise californienne BlueCoat revendique plus de 4000 clients dont la NSA, la CIA, SONY, Japan Telecom, l'armée américaine, etc...
Elle assure n’avoir vendu aucun matériel à la Syrie, pays sous embargo américain. Toutefois, toujours selon telecomix, s’il est possible que le matériel est pu être acheté par un autre pays et acheminé ensuite sur le sol syrien, BlueCoat ne peut avoir ignoré l’utilisation syrienne de ses machines puisque certaines requêtes des proxies exigeaient une connexion aux serveurs californiens de BlueCoat.
Aussi, certaines sources indiquent que les requêtes filtrées par les serveurs de BlueCoat en Syrie ont pu aussi être une précieuse source de renseignements pour les autorités américaines sur l’évolution de la révolution syrienne
vendredi 21 octobre 2011
Interception du satellite militaire TACSAT-4 par un amateur
Les voix de la liberté sur les ondes tunisiennes
Le peuple tunisien se rend aux urnes dimanche. Un scrutin historique neuf mois après la chute de Ben Ali. Pendant 23 ans, les Tunisiens ont été bridés. Ils vont enfin pouvoir prendre la parole. Aujourd’hui, c’est un vent nouveau qui souffle sur le pays du jasmin. La presse, les radios, les télévisions, espèrent pouvoir enfin raconter, témoigner, choisir librement leurs sujets. la suite
Source : l'excellent reportage de Mikaël Roparz http://www.france-info.com/monde-afrique-2011-10-20-tunisie-la-liberte-au-bout-des-ondes-569931-14-18.html
mercredi 19 octobre 2011
L'hébergeur gandi.net victime d'une attaque ddos
L'origine de ces attaques reste d'autant plus obscure que Gandi.net défend un internet "solidaire et citoyen" et ne présente donc pas le profil des sites qui sont habituellement ciblés par les hackers.
dimanche 16 octobre 2011
Des agents de Telecomix menacés ?
L'origine de ces menaces reste inconnue. Toutefois, elles interviennent alors que Reflets.info et Telecomix n'ont pas hésité à révéler les noms d'entreprises allemandes, françaises ou américaines ayant fourni des systèmes de censure informatique aux autorités libyenne ou syrienne.
Concernant la Syrie, Telecomix a décidé, il y a quelques jours, de dévoiler les journaux de connexions à des sites censurés en Syrie. 54GO au total qui concernent des millions de requêtes d'internautes syriens entre le 22 juillet et le 5 août 2011et la manière dont la censure syrienne a pu bloquer certaines requêtes.
Telecomix justifie sa démarche " dans le but de permettre à tout un chacun d'en faire des analyses permettant de mieux comprendre la censure syrienne, et créer une nouvelle base de connaissance pour se prémunir de futures attaques contre la liberté d'expression."
samedi 15 octobre 2011
Un agent de Telecomix se confie : " J'ai voulu mourir"
J'avais tout planifié. J'avais organisé le comment. J'avais préparé mon matériel. J'avais écrit une liste permettant d'avoir accès à mes emails, mon serveur, mes sessions IRC et qui devait en être informé. J'étais dans une profonde dépression. Je ne voyais pas d'autre solution que d'en finir pour mettre fin à la souffrance que je pouvais ressentir.
La pression était trop forte pour moi. Depuis Janvier, je travaillais sur différents projets avec Telecomix et d'autres collectifs. Nous aidions les Egyptiens à rétablir leurs connexions Internet. Nous aidions les Syriens, les Libyens et beaucoup d'autres ne disposant pas de la liberté de parole dans leurs pays. Nous avons fait notre possible pour que leurs voix soient entendues malgré tout. Je me suis littéralement battu pour cela. Je me suis battu contre mon cycle de sommeil, mes habitudes alimentaires et mon besoin d'amusement. Il était devenu habituel que je reste éveillé plus de trente heures voire plus.
J'ai vu et écrit des choses que je ne considérais pas appartenir au champ des possibles. Ces derniers mois, j'ai aidé beaucoup de gens à être connecté à Internet, à libérer leurs paroles et à montrer au reste du monde ce qu'il en était vraiment. Certains se sont perdus en cours de route. Je ne les reverrais jamais et je ne sais pas s'ils ont tout simplement préféré prendre leurs distances, s'ils ont été arrêtés ou s'ils sont, tout simplement, morts. Je n'en ai pas le moindre putain d'idée et je ne le saurais jamais.
Chaque jour qui passe apporte son lot d'horreurs à travers le monde, relayé dans les médias, lot d'horreurs ne nous affectant pas directement. Les nouvelles ou l'absence de nouvelles de ces personnes avec lesquelles j'étais en contact , m'ont profondément affecté. Une pression pour aider ces personnes avait surgi, personnes qui combattent de manière tellement enragée pour leur liberté d'expression.
Plus nous aidions ces personnes, plus je sentais que le niveau de responsabilité montait d'un cran.
Je ne pouvais plus dormir. Je buvais trop. J'ai fumé plus que de raison. Il n'y avait rien d'autres dans ma vie qu'aider d'autres gens. Mais j'ai fini par oublier ce qui était bon pour moi. Dormir, s'amuser, regarder des films, écouter de la musique. Passer du temps avec mes amis sans penser aux gens qui étaient sur le terrain et ce qu'il y avait à faire ensuite.
Un jour j'ai réalisé que j'étais perdu. Perdu dans une vie qui n'était plus la mienne. Perdu dans une vie où je ne m'occupais que des autres, qui me considéraient comme un héros. Personne ne voyait que j'étais juste un pauvre gosse qui voulait faire mumuse avec de la technologie et écrire des articles sur le futur de la communication.
Cette histoire s'arrête là : il fallait en finir. Je ne voyais pas comment faire autrement. Partir. Ne plus être un putain d'héros. J'avais prévu d'en finir le lendemain du Chaos Computer Camp. Tout était prêt. Mais c'est arrivé. Nous avons fermé le cluster d'hacktivistes dont je faisais partie. J'ai rencontré beaucoup de gens formidables « en vrai » sur place et beaucoup rencontrent le même problème. Mes amis étaient sur place et m'ont montré que la vie valait la peine d'être vécue.
Avec le reboot du cluster, je vais faire mon propre reboot. Je recommence à faire des projets pour moi. Je ne suis plus perdu. J'ai ma place sur la scène des hacktivistes et j'ai des amis partout à travers le monde. Je ne suis pas seul. De fait, ce que je considérais être un fardeau n'en est plus un. J'ai ouvert les yeux sur ce qui était important dans la vie : transmettre ce que l'on ressent. Et si le fait de transmettre ce que je ressens peut permettre à d'autres qui ressentent la même chose, de se sentir mieux, ça sera une bonne chose.
Il est temps de procéder au reboot."
Source : http://pixellibre.net/2011/08/le-jour-ou-jai-voulu-mourir/
lundi 10 octobre 2011
Attaque de Wall Street par le Anonymous : la vraie fausse rumeur des services de renseignement ?
Toujours selon nos sources, la communauté Anonymous serait actuellement mise en difficulté par des membres dissidents ou chargés de l'infiltrer qui n'hésiteraient pas à mettre la signature d'Anonymous sur des actions plus proches de la cyber-criminalité que du hacking militant.
samedi 8 octobre 2011
Les drônes américains victimes d'un virus informatique
Il n'y a eu officiellement aucune diffusion d'informations confidentielles à l'extérieur de la base de Creech, dans le Nevada. Le virus n'aurait pas non plus empêché les pilotes d'effectuer leurs missions, précise le magazine. Mais les militaires américains n'arriveraient toujours pas à se débarrasser de ce virus, détecté il y a deux semaines.
"NOUS PENSONS QU'IL N'EST PAS TRÈS DANGEREUX, MAIS EN FAIT NOUS N'EN SAVONS RIEN"
"Nous l'éliminons, mais il revient à chaque fois. Nous pensons qu'il n'est pas très dangereux, mais en fait nous n'en savons rien", a résumé un des interlocuteurs anonymes de Wired. Les autorités américaines cherchent également à savoir comment le virus a pu s'introduire dans un parc informatique a priori très sécurisé.
"Les spécialistes militaires ne savent pas si le virus (...) a été introduit volontairement ou accidentellement", explique le magazine. Ils soupçonnent que des disques durs externes, que les pilotes utilisent pour transférer des informations d'un poste à un autre, soient à l'origine de l'infection.
Source : http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/10/08/un-virus-informatique-aurait-infecte-les-drones-de-l-armee-americaine_1584582_651865.html
vendredi 7 octobre 2011
Quand Avaaz et Anonymous font cause commune...
Le contre pouvoir des Anonymous menace Wall Street
Anonymous au secours de copwatch ?
mercredi 5 octobre 2011
La téléphonie afghane aux mains des talibans ?
Mais, selon le New York Times, elles incitent à se demander "si les talibans ont besoin de tenir le territoire comme ils le faisaient auparavant afin d'influencer la population. De plus en plus, il semble que la réponse soit non". En effet, ces coupures d'un outil essentiel pour le commerce, qui représente l'un des rares secteurs relativement sains de l'économie afghane, "rappellent quotidiennement à des centaines de milliers, voire des millions d'Afghans, que les talibans ont encore une influence réelle sur leur futur".
Les opérateurs de téléphonie affirment, eux, ne pas pouvoir compter sur le gouvernement ni sur l'OTAN pour défendre les tours et leurs employés. Ainsi, un gérant anonyme d'Etisalat, l'une de ces compagnies, déclare au New York Times : "Les talibans nous menacent avec force si nous n'éteignons pas le signal dans la ville de Kandahar", l'ancienne capitale du régime taliban et le point central de la campagne d'augmentation de troupes lancée par le président Obama en 2009, afin de manifester la présence de l'OTAN dans le Sud afghan. "Ils disent : vous êtes les mêmes que les Américains. Ce que nous ferons contre les Américains, nous le ferons également contre vous. Vos employés seront enlevés, tués, et les tours seront brûlées."
De même, poursuit l'employé, "Le gouvernement dit : 'Vous ne devriez pas éteindre le signal à Kandahar.' Ils disent : 'Nous pouvons protéger les sites dans la ville', mais nous ne croyons pas que le gouvernement protégera les tours."
Source : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/10/05/signal-en-afghanistan-on-ne-telephone-que-si-les-talibans-sont-daccord/